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Le bureau était un champ de bataille.

Des piles de cahiers empilés les uns sur les autres, des surligneurs à sec, des notes autocollantes éparpillées comme des soldats tombés au combat. 📚✏️

Chaque soirée se ressemblait : des heures de réécriture, de feuilletage de chapitres, essayant désespérément de donner un sens à tout cela.

Plus il écrivait, moins il y pensait. Et à chaque page, la pression augmentait.

Il n'était ni paresseux ni démotivé. Il se noyait simplement dans un système qui rendait l'apprentissage interminable, frustrant et épuisant.

Les nuits se sont succédées. Les tasses de café se sont multipliées. Le stress est devenu un compagnon constant. ☕😔

Et puis – presque par accident – ​​quelque chose a changé.

Un petit appareil, si simple qu'il ressemblait presque à un jouet, a trouvé sa place sur son bureau. Une imprimante, mais pas comme les machines encombrantes avec lesquelles il avait grandi. Celle-ci tenait dans la paume de sa main. 🤏✨

Au début, il n'y a pas prêté beaucoup d'attention.

Mais ensuite, il a imprimé sa première note.

Un simple appui et en quelques secondes, le désordre de l’écran de son téléphone s’est transformé en un morceau de papier clair et parfaitement dimensionné.

Il en a imprimé un autre. Et encore un autre. Des fiches pour des révisions rapides. Des formules clés à coller au mur. Des résumés suffisamment petits pour tenir dans sa poche.

Lentement, le chaos de l’écriture sans fin s’est transformé en de jolies petites impressions.

Pour la première fois, étudier ne ressemblait pas à une punition.

C'était… faisable. Plus léger. Et même un peu amusant. 🎓💡

Les piles de cahiers ont diminué. Les post-its ont cessé de tomber. Les couleurs sur le bureau ont retrouvé ordre et clarté.

Et à chaque carte imprimée, le poids sur ses épaules s'allégeait un peu plus.

En regardant cette pile grandissante de petites notes, il sourit. Non pas que le sujet devienne plus facile, mais parce qu'il avait soudain le contrôle.

Et au fond de moi, une pensée résonnait sans cesse :

💭 « Pourquoi n’ai-je pas su cela plus tôt ? »